Escrita alfabética e representação no campo das línguas de sinais

Abstract

Résumé La loi 10.436/2002, qui reconnaît comme moyen légal de communication et expression la Langue Brésilienne de Signes, en affirmant qui la « Libras ne peut pas remplacer la modalité écrite de la langue portugaise » et le décret de nº 5.626, qui la légitime, élucide que le portugais sera pour le sourd sa seconde langue sans accès la parole et ses unités minimales, nous posons la suivante question: Il serait possible pour sourd d‟apprendre le portugais écrit, la langue de l‟écrite alphabétique, comme sa seconde langue et respecter l‟exigence légal? Certaines recherches traitent de ce sujet-là en considérant l‟écrite alphabétique comme représentation de la marqué sonore, dont ces recherches argumentent que l‟alphabétisation du sourd en portugais écrit aurait été plus efficace s‟il y avait une écriture des langues de signes pour parvenir à ce processus. Avec le but de faire la discussion sur la question majeure qui nous intéresse, c‟est-à dire, la conception d‟écriture alphabétique et les possibilités d‟accès du sourd à cette écriture, nous proposons à : a) analyser le concept de l‟écriture qui entoure ces travaux et aussi examiner les arguments utilisés pendant la défense d‟une écriture propre de la langue de signes, b) articuler les concepts et les arguments trouvés avec la réflexion proposée par Auroux (1992) concernant l‟écriture comme la condition de la possibilité de réflexion métalinguistique et du processus de la grammatisation des langues vernaculaires dans la période de la Renaissance et c) présentation de la théorie de la valeur saussurienne comme alternative à la notion de l‟écriture comme représentation. Parmi les systèmes d´écriture disponibles pour les langues de signes, nous avons choisi pour notre réflexion o SignWriting, il a été créé en 1974 par Valerie Sutton, justement pour se présenter comme un « système d‟écrite alphabétique » capable d‟enregistrer quelque langue de signes- tel l‟alphabet latin comme les langues occidentales, par exemple. La méthodologie adoptée se caractérise par la sondage, sélection, discussion et analyse des donnés de caractère bibliographique. Nous soutenons, surtout, dans la discussion historiographique abordée par Auroux (1992) e Desbordes (1995 e 1996), dans les propositions qui traitent de l‟alphabétisation du sourd discutées par Stumpf, (2000, 2003, 2005, 2016 e 2018) e Dizeu (2017) e et aussi dans les discutions sur le fonctionnement symbolique de langue/écriture par Saussure (2012 [1916]), Lapacherie (1995), Faria (2011), Bizio (2015) e Lier-DeVitto (2018).